Son cœur se noie dans un corps arrêté…
Homme entré dans la flamme, que la douleur cachée tient « serré » contre un lit, où son corps appelant, où son regard vibrant, sont venus se « percher »…
Il va jour après jour d’un petit pas de sang s’embrasant du dedans…
Au silence franchit par le peu de paroles, il nous dit son désir supplicié, ses pleurs, ses cris, et ce qui le fait rire, ses mots « habités » qui désormais expirent…
De son corps au repos on voit jaillir brûlants, les « spasmes » de sa peur… Et l’on entend parfois ses heures « crépiter »…
Au désir ralenti, la course de ses mains vient dormir dans les nôtres… Ce geste culminant, « cœurs » en déplacement, nous donne l’un à l’autre !
Ses jours sont mis à nu par le temps qui « l’effeuille »… Finalement, la force du silence a raison de sa voix…
Son souffle contrarié donne un rythme à nos souffles, et nos pensées « lavées » par tant de vérité, nous allons de concert au seuil de l’Invisible…
Et le retrait du corps donne un élan à l’âme : nous le laissons partir où seul il peut aller…
Nos cœurs tout parfumés par le temps arrêté, sont rendus brusquement au temps recommencé…
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