Josepha Faber Boitel - Retrouver du plaisir à vivre, travailler, partager

30 avril 2017

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retrouver du plaisr à vivre couverture (1)

Pourquoi j’ai écrit ce livre 

Ce carnet de cheminement est le résultat d’une quête de simplicité. Il est né de deux envies : d’une part, l’envie de refuser la course contre la montre que la société moderne nous impose tous les jours. D’autre part, l’envie de ne plus ressentir en permanence une impression de frustration. La méthode que je vous propose dans ce livre pour retrouver la sérénité a d’abord été mise au point pour moi-même. Puis j’ai partagé mes idées sur un blog. Petit à petit des personnes se sont mises à suivre ma démarche que j’ai finalement décidé de transformer en livre. Finalement, dans cet ouvrage, je vous propose « une petite méthode pratique » pour vous engager sur un chemin spirituel d’amélioration accessible à tous : 9 étapes toutes simples pour retrouver la paix, des chapitres structurés en 3 parties pour le changement « Agissez – Méditez – Changez » et des citations inspirantes. Ou comment, en neuf étapes, enraciner la sérénité dans votre vie. Ces trouvailles sont indissociables de ma foi chrétienne simple et profonde. Ne soyez donc pas étonné de trouver quelques références aux textes bibliques et à des penseurs inspirés. J’apporte aussi des exemples et anecdotes d’autres cultures et spiritualités, en espérant que vous en ressortirez enrichi.

Extrait

Toujours affirmer que l’on aurait pu mieux faire, c’est une forme de vantardise. Pourquoi ne pas accepter d’avoir des limites dans certaines circonstances ?

La modestie, c’est l’élan d’acceptation de soi-même par lequel l’homme doit passer pour s’accomplir pleinement, dans la personnalité et les capacités qui sont véritablement les siennes.

Tombé en désuétude, ce positionnement de la pensée engendre un « savoir être » face à soi-même et aux autres réellement fraternel.

Acceptez la réalité comme elle est et accueillez-la pour ce qu’elle est en vous, c’est-à-dire : assumez ce que vous êtes, ce que vous êtes capables de faire, selon vos compétences innées ou acquises. Pourquoi se fixer sur ses malheureuses insuffisances ? Trop réfléchir sur soi dans l’insatisfaction est source de déprime.

« N’épluchez guère ce que font les autres, ni ce qu’ils deviendront, mais regardez les d’un œil simple, bon, doux et affectionné. Ne requérez pas en eux plus de perfection qu’en vous-même et ne vous étonnez point de la diversité des imperfections … faites comme les abeilles, sucez le miel de toutes les fleurs ». (Saint François de Sales)

Farel Éditions 2017

Publications : Nouveaux regards sur l’esclavage, collectif, Empreinte temps présent Editions, octobre 2015 ; L’Eglise, promesses et passerelles vers l’interculturalité, Excelsis, mars 2015.

Site : www.josephafaberboitel.com

usersmagnifiercrossmenuchevron-down linkedin facebook pinterest youtube rss twitter instagram facebook-blank rss-blank linkedin-blank pinterest youtube twitter instagram