Joël Schmidt : Le Triomphe du christianisme

11 décembre 2013

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Pourquoi j’ai écrit ce livre

Par L’édit de Milan qui date de 313, l’empereur Constantin reconnaît le christianisme dans l’empire romain et marque définitivement la fin des persécutions contre les chrétiens. Nous fêtons par conséquent en cette année 2013 le 1700e anniversaire de cette date capitale qui va marquer l’histoire non seulement de l’Occident mais aussi du monde entier. Date dont nous sommes toujours, au XXIe siècle, tributaire.

Joël Schmidt


En résuméjoelschmidt

Cette reconnaissance du christianisme a été précédée par la promesse qu’a faite l’empereur Constantin au Dieu des chrétiens, de se convertir également, s’il était vainqueur de Maxence, un de ses compétiteurs à Rome. Dieu lui aurait répondu par une série de signes dont la fameuse apparition du chrisme dans le ciel avec l’inscription « hoc signo vinces », par ce signe tu vaincras. L’ouvrage étudie jusqu’à la mort de Constantin en 337 les péripéties de cette reconnaissance et les difficultés que rencontre l’empereur pour faire admettre par tous ses sujets, dont beaucoup sont encore païens, cette mesure révolutionnaire qui s’accomplit après avoir été longtemps mûrie et soupesée.

Extrait

«Poursuivant sa politique de bascule, Constantin après avoir tant donné de gages aux chrétiens n’en oublie pas pour autant les païens… les apaise en en prenant une série de mesures en leur faveur et se garde bien de les persécuter à son tour, ou d’exercer sur eux de quelconques représailles… Il reste grand pontife de la religion romaine… En bref il entend que le paganisme abandonne ses pratiques secrètes et cachées et se révèle au grand jour. Il épure le paganisme, sans le supprimer, de ses scories souvent scandaleuses. »

Le Triomphe du christianisme, Constantin et l’Edit de Milan (313), Joël Schmidt, Salvator, 142 p., 15 €.

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